...Trucs divers

Démences Poétiques

À travers ce livre souillé
J'y écris mes complaintes
Mes joies et mes peines
J'y note mes pensées
Mes hypothèses et mes crainte
Je voyage par le biais de ces pages ternes

Je partage mes opinions
Je rédige mes volontés
En ces pages,véritables brouillons.

Font partie d'une histoire au héros désenchanté.
Qui à chaques aventures,ce déleste d'un bien inestimable.
Chaque quête,chaque épopée
Il perd sa raison,le rendant misérable

Toujours à la recherche de son trésor sans valeur
Perdu dans l'univers de son subconscient
Égaré dans une contrée regorgeant de pillards et voleurs
À tout jamais perdu jusqu'a la fin des temps.

Comme je suis triste
Je pleure la nuit
Le décès du jour
la mort d'un ami
l'injustice d'un amour

Comme Vincent est triste au soleil couchant

Je pleure la pluie
La fin du beau temps
sujet à la mélancolie
Attristé de ne plus être enfant

Comme shimata est triste au piano mourrant

Je pleure la vie
Le départ du printemps
regrettant mon lit
Éffrayé de ne plus être un enfant

Comme pouce est triste au passage du temps

Je pleure ma patrie
L'abaissement du drapeau
La perte d'un parie
La mort du vieux corbeau.

Que faire?

Quand ton coeur ne bat que pour lui
Quand à chacune de ses paroles,il te séduit
Quand t'as peur de montrer tes sentiments
Quand tu fais tout pour cacher les preuves à tes parents

Comment pourraient-ils le prendre?
Ils te disent que t'es dans une phase qui finira par passer.
Selon eux,j'suis trop jeune pour comprendre
Pour eux,aimer quelqu'un du même sexe,c'est le mal incarné.

Quand vont-ils comprendre?

Lorsque t'auras l'gun sur la tempe
Quand on va te prendre avec des photos de "lui" dans ton casier
Quand tu sera à un balancement de te pendre.
Quand y vont t'pogner en train de l'embrasser

L'illusionniste

Il pleure,il pleure le petit magicien
Son seul désir étant de se faire disparaitre
Le remord remplace ses lapins
De ses colombes,il n'est plus maître

En sa cage de verre,il est prisonnier
Suffoquant sous le poid du destin
Avalant lames et poignards pour subsister
Il est seul sur scène,noyé de chagrin

Illusion de bonheur
Formule incantatoire
petit imposteur
amour illusoire

Rêve d'une nuit

Un songe,voila la seule trace que j'ai laissé
La mort,qui chaques jours ne cessais-je d'attendre,est enfin arrivée.
Je vit mon cadavre,pendant au bout d'une cord que j'avais prit la journée à installer.
Puis,vint une douce méloppé,qui de mes rêves vint me tirer.

Je me levai de mon lit avec regret.
Car là ou j'étais,je n'eu point connaisance de la tristesse.
Ce lieu,qui est jusqu' aujourdh'ui demeuré secret.
Car cet endroit,jadis y règnait l'amour et la tendresse.

Des idées noires,voila ce que je pense.
Mélancolie,tristesse,déception et souffrance.
Le deuil qui chaque soir me tire du sommeil.
Car dams ma tête,rien n'est pareil.

Mes rêves devenus cauchemards.
Ma joie devenue tristesse.
Chaques jours,me rapprochant de la date de mon départ.
Je vis un rêve éveillé,les tous sans que rien ne paraisse

Simplement lui

Pour certains,je suis mystérieux.
Pour d'autres je suis dément.
Atteindre mon jardin secret,voila un voyage périlleux.
Qui arrivera donc à comprendre cet enfant.

Ma folie est sans limites.
La mélancholie me possède.
Mon esprit ce définit comme une catacombe,impossible est la fuite.
Un ruban de mobius,un cercle vicieux ou une vis d'archimède.

Qui le sauvera?
Qui le réanimera?
Qui le ramenera?
Encore plus fou est l'homme qui le provoquera.

Je suis un monstre,un désastre,une erreur.
Envouté par la folie,qui chaque jour ne cessede croitre.
Tous ce que je fais n'engendre que les pleursé
Et cette chose,disparue,que j'appelait espoir.

Naturellement Catastrophique

Mes yeux viennent de s'ouvrir
Je vien de remarqué qu de plus en plus grandissante est la pauvreté
Je croyais que ce n'était qu'en Afrique que les gens pouvaient autant souffrir
Mais maintenant,je suis conscient de la tristesse frappant l'humanité

Les problèmes graves que sont la déforestation
Les pluies acides,tornades et ouragans
Aux espèces menacées d'extinction
Et dire que c'est nous la cause de ces incidents

Les industries s'enrichient avec la guerre
Dans les écoles on apprend aux enfants la violence
Ravageant les pays,popularisant la misère
Vous vous rendez compte du présent que nous offront à notre descendance?

Il y a la valeur d'la piasse qui monte,faisant grimper l'économie
Les politicien,de plus en plus menteur
Puis la publicité,la grippe aviaire et l'anorexie
L'humain que je connais est devenu consomateur

Nous provoquons nous même les cataclisme
Avec toutes ces célébrités se proclamant prophetes
Cancers,pandémies et séisme
Dévisageant le visage de cette si belle planète

Moi,marionette

Aujourd'hui,je me sens tel un vulgaire pantin
Manipulé par une société de marionnetistes
Nous laissant croire que l'avenir est entre nos mains
Mais la seule chose qu'ils veulent de nous,c'est qu'on obéisse

Levez-vous,freres de la rébellion
Cessons d'agir tel des brebis
Le temps est maintenant à la révolution
Battons nous pour le respet de notre patrie

À mort la pauvreté et la surconsomation
Les dieux que nous prions se prénomment Nike,Addidas,Volcom et Garnier
Le seul moyen de les prier étant de dépenser les biens que nous possedons
Suis-je le seul à en avoir assez d'etre écraser?

Frères,c'est maintenant à nousde jouer
Le temps est à la révolution et non à la peine
Comme au théatre,le rideau doit se lever
Ensemble nous allons déthroner ces fourbes de metteurs en scene

Lettre de Tristan

À ma douce colombe,

L’idée de vous quitter me fend le cœur
Car la ou je vais, y règne les cris et les pleurs
La faim tenaillant ces pauvres innocents
Et ou la terre s’abreuve à même le sang.

En vous, je ressens bien plus que de l’amour
C’est plutôt un amalgame de désir et de passion
Sans oublier la tendresse, le tous réchauffé par une flamme, ardente pour toujours.
Ce divin nectar, me protégeant telle une targe de la trahison

Soumis à vos moindres caprices je me dois d’être
Mon cœur, mutilé par les flèches que cupidon ne cesse de me décocher.
Mon esprit est devenu esclave et mon cœur, devenu maitre.
Et le souvenir de votre doux regard, qui chaque jour ne cesse de me lacérer

Je braverais la moindre torture pour effleurer vos courbes digne d’une déesse.
Je marchanderais la moindre pépite d’or que je possède pour vous rejoindre
Je voyageais jour et nuit, dans le but ne serait-ce qu’entendre la mélodie de votre voie
Je me priverais de la moindre goutte d’alcool, sachant qu’en tout temps de vos douces lèvres je m’abreuverai

« Quel beau chevalier je fais, prêt à oublier tous serments pour une femme. »
Bien que ma fidélité envers le roi soit défaillante.
En ce qui concerne de la votre, je vous informe que je ne suis le chevalier d’une seule gente-dame

Votre dévoué Tristan.